Ces enfants malades de leurs parents Livre d’occasion Très bon
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Description
E.Leclerc
« Garder un secret pour le "bien" de ses enfants, c'est souvent leur faire grand tort. » Sans qu'ils le veuillent, sans qu'ils le sachent, et bien malgré nous, nos parents, nos grands-parents, nos aïeux nous laissent en héritage leurs deuils non faits, leurs traumatismes non « digérés », leurs secrets. Or, si les choses ne sont pas dites, le corps, lui, les exprime parfois : c'est la somatisation. Le corps de l'enfant, du petit-enfant, de l'arrière-petit-enfant, quel que soit son âge, devient alors le langage de l'ancêtre blessé. Il est donc nécessaire de décoder et de soigner les plaies non refermées. Pour se libérer - enfin - du « froid » que l'on portait en soi.
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« Garder un secret pour le "bien" de ses enfants, c'est souvent leur faire grand tort. » Sans qu'ils le veuillent, sans qu'ils le sachent, et bien malgré nous, nos parents, nos grands-parents, nos aïeux nous laissent en héritage leurs deuils non faits, leurs traumatismes non « digérés », leurs secrets. Or, si les choses ne sont pas dites, le corps, lui, les exprime parfois : c'est la somatisation. Le corps de l'enfant, du petit-enfant, de l'arrière-petit-enfant, quel que soit son âge, devient alors le langage de l'ancêtre blessé. Il est donc nécessaire de décoder et de soigner les plaies non refermées. Pour se libérer - enfin - du « froid » que l'on portait en soi.
Book VillageSans qu'ils le veuillent, sans qu'ils le sachent, et bien malgré nous, nos parents, nos grands-parents, nos aïeux nous laissent en héritage leurs deuils non faits, leurs traumatismes non «digérés», leurs secrets. Or, si les choses ne sont pas dites, le corps, lui, peut parfois les exprimer: c'est la somatisation. Le corps de l'enfant, du petit-enfant, de l'arrière-petit-enfant, quel que soit son âge, devient alors le langage de l'ancêtre blessé, la «parole» de ses traumatismes. Il est donc nécessaire de «sortir le cadavre du placard», de décoder et de soigner les plaies non refermées. Pour se libérer -enfin- du «froid» que l'on portait en soi.
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