Le Gone du Chaâba Livre d’occasion Correct
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Description
Le Chaâba : Une fenêtre sur la vie d'une famille apatride
Le roman "Le Gone du Chaâba" d'Azouz Begag nous plonge dans l'univers poignant d'une famille vivant dans un bidonville au bord du Rhône, près de Lyon. À travers le récit de cette œuvre, l'écrivain donne voix à une génération d'immigrants ayant fui la misère algérienne, tout en captivant son public par sa tendresse et son recul critique.
Un cadre de vie difficile
Le Chaâba, composé d'un amas de baraques en bois, est le reflet de l'angoisse et des espoirs de ceux qui cherchent à échapper à la pauvreté. Les journées s'ouvrent au son des éclats de rire des enfants, qui, malgré un cadre de vie précaire, trouvent joie et énergie dès le lever du soleil. Les « gones », ces enfants du Chaâba, se lavent à l'eau du puits et, assis sur la terre battue, s'adonnent à leurs devoirs scolaires. Chaque matin, ils mettent leurs souliers pour se rendre à l'école, un lieu d'apprentissage où se dessinent de nouveaux horizons.
L'importance de l'éducation
Au-delà des simples défis quotidiens, le roman met en avant l'importance de l'éducation dans la vie de ces enfants. Le père, figure centrale et protectrice, interdit à ses enfants de travailler au marché les jours d'école. Il exprime son désir ardent de les voir réussir et d'échapper à la vie de « pauvre travailleur » qu'il a endurée. Sa détermination est claire : il préfèrera se sacrifier plutôt que de voir ses enfants suivre le même chemin que lui. Ce choix parental témoigne d'un profond amour et d'une volonté de privilégier les rêves d'avenir de ses enfants.
Un message d'espoir
La plume de Begag, avec une approche nuancée, nous épargne toute vision manichéenne. En décrivant les joies et les difficultés de la vie au Chaâba, il parvient à créer un équilibre rare. Les récits des enfants, porteurs d'espoirs et de rêves, sont empreints de réalité tout en étant teintés de tendresse. Leurs interactions et leurs luttes deviennent le miroir des aspirations de toute une communauté.
"Le Gone du Chaâba" est bien plus qu'un simple roman ; c'est une véritable ode à l'espoir, à la résilience et à la force des liens familiaux. À travers cette œuvre, Azouz Begag nous invite à réfléchir sur notre société, sur les préjugés et sur l'importance de l'éducation dans un monde en constante évolution. Un livre touchant et essentiel qui mérite d'être lu et partagé.
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Le Chaâba : Une fenêtre sur la vie d'une famille apatride
Le roman "Le Gone du Chaâba" d'Azouz Begag nous plonge dans l'univers poignant d'une famille vivant dans un bidonville au bord du Rhône, près de Lyon. À travers le récit de cette œuvre, l'écrivain donne voix à une génération d'immigrants ayant fui la misère algérienne, tout en captivant son public par sa tendresse et son recul critique.
Un cadre de vie difficile
Le Chaâba, composé d'un amas de baraques en bois, est le reflet de l'angoisse et des espoirs de ceux qui cherchent à échapper à la pauvreté. Les journées s'ouvrent au son des éclats de rire des enfants, qui, malgré un cadre de vie précaire, trouvent joie et énergie dès le lever du soleil. Les « gones », ces enfants du Chaâba, se lavent à l'eau du puits et, assis sur la terre battue, s'adonnent à leurs devoirs scolaires. Chaque matin, ils mettent leurs souliers pour se rendre à l'école, un lieu d'apprentissage où se dessinent de nouveaux horizons.
L'importance de l'éducation
Au-delà des simples défis quotidiens, le roman met en avant l'importance de l'éducation dans la vie de ces enfants. Le père, figure centrale et protectrice, interdit à ses enfants de travailler au marché les jours d'école. Il exprime son désir ardent de les voir réussir et d'échapper à la vie de « pauvre travailleur » qu'il a endurée. Sa détermination est claire : il préfèrera se sacrifier plutôt que de voir ses enfants suivre le même chemin que lui. Ce choix parental témoigne d'un profond amour et d'une volonté de privilégier les rêves d'avenir de ses enfants.
Un message d'espoir
La plume de Begag, avec une approche nuancée, nous épargne toute vision manichéenne. En décrivant les joies et les difficultés de la vie au Chaâba, il parvient à créer un équilibre rare. Les récits des enfants, porteurs d'espoirs et de rêves, sont empreints de réalité tout en étant teintés de tendresse. Leurs interactions et leurs luttes deviennent le miroir des aspirations de toute une communauté.
"Le Gone du Chaâba" est bien plus qu'un simple roman ; c'est une véritable ode à l'espoir, à la résilience et à la force des liens familiaux. À travers cette œuvre, Azouz Begag nous invite à réfléchir sur notre société, sur les préjugés et sur l'importance de l'éducation dans un monde en constante évolution. Un livre touchant et essentiel qui mérite d'être lu et partagé.